Suite à la publication le 2 février 2018 des rapports de l’étude du National Toxicology Program (NTP), la journaliste Albane Canto de Actu-Environnement a fait une première analyse des résultats. Dans le cadre du débat lancé par un des auteurs de l’étude, le scientifique John Bucher, lors de la confèrence qui s’en est suivie, sur la comparaison entre les niveaux d’exposition des rats et des souris avec celui des humains, Canto me cite : Ces informations font réagir Marc Arazi, médecin et lanceur d’alerte en France : « Ce sont ces mêmes niveaux et même des niveaux bien plus élevés qui ont été mesurés lors des tests réalisés sur des DAS (Note : Débit d’absorption spécifique) sur les membres et le corps par l’Agence nationale des fréquences (ANFR) entre 2012 et 2016 sur près de 270 téléphones portables« .