Lors du Conseil Municipal du 12 Octobre dernier je me suis abstenu lors du vote sur le projet de construction d’une résidence de jeunes travailleurs dans la rue Hoche. Mais, malgré mes différentes demandes au Maire, les informations publiées tant sur le site de la ville (modifiées depuis peu) que dans Nogent Magazine sont erronées car elles évoquent un vote à l’unanimité. Il me semble important de le préciser parce qu’il s’agit d’une position de vote importante.
Pour une retranscription des votes plus précise
A plusieurs reprises, tant orales qu’écrites (par mail, le 25 Octobre puis le 4 Décembre), j’ai fait état au Maire de ces erreurs. Et quelle n’est pas ma surprise de voir que dans Nogent Magazine, ce mois ci, page 56, les informations sont encore une fois erronées.
J’ai donc demandé que dans le prochain numéro du magazine municipal et sur le site de la ville un erratum soit publié afin de clarifier ma position de vote sur ce sujet. Il est très important, pour des raisons de transparence, que les votes soient retranscrits le plus fidèlement possible.
Mon explication de vote
Au lendemain du Conseil Municipal du 12 Octobre, je m’étais exprimé sur ce projet :
« Le conseil a été amené à se prononcer sur la construction d’une résidence pour jeunes travailleurs et à une évolution du Plan d’Occupation des Sols (POS) pour ce projet afin de permettre d’augmenter la hauteur du bâtiment de R+3 à R+5. Tout en étant favorable à l’objet même du projet je défends depuis longtemps à cet endroit une volumétrie équilibrée. Nous avions eu déjà ce point de désaccord avec le Maire sur l’évolution de la rue Hoche ( qui pour lui n’est pas pavillonnaire et doit faire le pendant à la résidence du Port). J’ai donc choisi de m’abstenir. Tous les autres élus présents ont voté pour. »
Cette abstention est en cohérence avec l’attente de nombreux nogentais qui souhaitent préserver une urbanisation équilibrée, respectueuse de notre cadre de vie. Et en cohérence également avec le programme de Nogent c’est Maintenant et notre accord politique avec Jacques JP Martin.