Comme à chaque Conseil Municipal et conformément à mon engagement de relayer les questions de Nogentais relevant de la vie municipale, voici les deux interrogations formulées au Maire lors de la séance du 30 avril 2012. La première concerne la situation d’une vingtaine d’ élèves de CM2 de l’Ecole Européenne Léonard de Vinci qui se voient contraints de continuer leur scolarité au Perreux sur Marne. La seconde évoque l’évolution des moyens en logements d’urgences de la ville pour faire face aux difficultés croissantes et à la montée de la précarité pour certains Nogentais.
Questions orales lors du Conseil Municipal du 30 avril 2012
1/Education
- J’avais déjà évoqué en Conseil Municipal la situation des familles ayant des enfants en CM2 à l’Ecole Européenne Léonard de Vinci et qui se voie contraintes en fonction du nouveau découpage de l’inspection académique d’envoyer leurs enfants au collège Brossolette du Perreux sur Marne. Cette année, ils seraient près de 25 élèves concernés. Les parents ont reçus le 30 mars 2012 un courrier de la directrice le leur confirmant.
- Or, en début d’année 2012, j’avais attiré votre attention sur le mécontentement de plusieurs parents qui ne comprennent pas pourquoi des élèves Nogentais devraient aller sur le Perreux et comment s’est fait le découpage. Des parents qui s’inquiètent particulièrement des difficultés pour des enfants de cet âge d’aller seul jusqu’au collège. Tout le monde s’accordant sur la dangerosité du transports à pieds et de la traversée du boulevard Albert Ier.
- Les affectations débutant au mois de mai, merci de m’indiquer au plus tôt quelles mesures la ville a prise auprès de l’Académie de Créteil pour permettre à ces élèves Nogentais de continuer leurs scolarités sur Nogent?
- Et quelles propositions concrètes d’aide au transport de ces enfants, la ville a-t’elle prévue, sachant qu’en quelques années, cela pourrait représenter plus d’une centaine d’élèves?
2/Social
- Des Nogentais subissent de plein fouet la crise économique que nous traversons depuis 2008. Certains se retrouvent sans ressources, dans des conditions de logements indignes ou pire encore, sans toîts. Je souhaiterai connaître le détail des moyens de logements d’urgence dont la ville dispose pour répondre à d’éventuels besoins. Et l’évolution de ces moyens en logements d’urgence depuis 2007 et 2001?